Cent pour cent cendrillon ou sang pour sang joyeux drille ?

Le jeu avec les mots

Comme tu le sais peut-être, ô ami lecteur, je suis un chat (siamois de surcroît) qui aime jouer avec les mots, à cent pour cent (oui, je ne suis pas un adepte du lait tiède !). Je propose donc à ta lecture un petit texte parsemé de certaines contraintes. Je soumets à ta sagacité la découverte de ces contraintes. Le titre général de cet article devrait te mettre la puce à l’oreille. Sauras-tu trouver cent pour cent des réponses ?
Je suis assez fier de ce petit conte, qui est une sorte de post-scriptum au conte deux-pattes nommé Cendrillon.

Un poème en forme de conte ou un conte en forme de poème : Sang pour cent

Sang pour cent

Le pied ne sembla pas s’encastrer dans la sandale sanglante.
Sanglé dans un sampot sang-de-dragon, la Sentinelle, un centaure insensible, se sentit centurion devant la centaine de sangloteurs bruissant et jacassant. Il descendit avec Cendrillon vers ces censeurs, sempiternels valets du sens convalescent.
L’assentiment de la centurie, assemblée au centre, sans sentiment excentrique, fut recensé par ce passant glaçant. Caressant ou cassant, oppressant, menaçant, il centralisa leur sentence, sensible au sentier de la censure centenaire.
Censée sanctifier l’adolescente, l’absence de sentiment fit sensation.
Sensuelle, saisissant un verre de Sancerre, Cucendron sanglota et s’enterra, sanglante, parmi les cent.

Un petit point à mi-parcours

Dans moins d’un mois, cela fera un an que j’ai ouvert ce Carnet de bord. À ton avis, parmi tous mes articles, poèmes et autres géniales publications, quelles sont les sept que tu as plébiscités à cent pour cent ? Sauras-tu répondre à cette question ? Je serais intéressé de savoir si ceux que tu as préférés, toi qui me lis, là, à l’instant, ô lecteur deux-pattes, mon ami, sont les mêmes que ceux plébiscités par l’ensemble des lecteurs. Ton avis m’intéresse. Dois-je faire évoluer mon Carnet de bord dans un sens ou dans un autre ?
Bon, je suis un chat (âgé de plus de sept cents de vos années, tout de même !) et n’en ferai qu’à ma tête (à cent pour cent !), mais j’aimerais bien lire ton retour, ton ressenti.

Cent pour cent des révélations

Clique sur ta souris, et souris ! Alors tu sauras.
Quelles contraintes ?

Une publication

Je réponds rarement à des AT (Appels à Textes) : mon œuvre se suffit à elle-même et n’a pas besoin de stimulations extérieures.
Cependant, ce Sang pour cent est paru dans le numéro cent de La Lettre du Club Présences d’esprits. J’avais été amusé par les contraintes : Le thème 100 et ses homonymes et la longueur de cent mots (en comptant le titre).

Vérification ?

Tu peux compter, ami lecteur, il y a 100 mots très exactement. Et je me suis astreint à ce que résonne à (presque) cent pour cent le son 100… sur les conseils de mon ami, le deux-pattes Samson.
Tu connais le surnom que donnaient ses deux sœurs (les deux-pattes sont cruels !) à Cendrillon ? Tu as deviné : Cucendron.

Mes sept articles les plus lus

Mes sept articles les plus lus

Je viens d’installer une nouvelle extension (plugin) et je la découvre patte à patte. Comme je suis partageur à cent pour cent ! je t’offre à la fois la primeur de l’une de ses possibilités et, simultanée, la réponse aux sept articles plébiscités par les lecteurs.

Un peu de publicité !

Mon roman feuilleton

Tu l’as remarqué, les épisodes du feuilleton L’Eschylliade sont protégés par un mot de passe. Si tu souhaites les lire, il te faut ce mot de passe.
En même temps, je peux comprendre que tu ne souhaites pas, à cent pour cent, dans un premier temps, t’abonner à mon Carnet de bord pour ensuite le regretter.
Je vais donc, chaque lundi, le publier en clair… parfois. Cette visibilité durera vingt-quatre heures. Lundi dernier, je l’ai laissé quarante-huit heures. C’était exceptionnel.
Et si tu veux être libre de venir quand tu veux, il te suffira de t’abonner.
Comment ?
C’est très simple : Au bas de cette page, il y a un petit encart intitulé La newsletter « Écrire du rêve » ; inscris donc un prénom, un pseudo, ou le nom sous lequel tu voyages sur le web, et indique une bonne adresse mail. Et n’oublie pas de confirmer. Le courriel de confirmation se perd parfois dans les spams ou courriers indésirables (les robots n’aiment pas les chats !). N’hésite pas à jeter un coup d’œil de ce côté si tu ne reçois rien. Vérifie aussi ton adresse. Il arrive que certains deux-pattes (je pense au mien en particulier) aient la tête dans les nuages.

Le lecteur solidaire

Je t’invite, toi qui as pris le temps de lire, de devenir solidaire à cent pour cent de mon dur labeur. Je pense que si tu es parvenu jusqu’à ce stade, tu le mérites. Je te conseille donc la lecture de cette page, nommée Don et feuilleton.

Mot de passe et lectures

D’autre part, en t’abonnant à ma newsletter « Écrire du rêve », tu recevras non seulement le mot de passe, lequel te permettra d’accéder à mon feuilleton de L’Eschylliade (le récit de ma deuxième vie, tout de même !), mais tu réceptionneras aussi trois cadeaux littéraires, et en plus tu seras tenu au courant de mes publications par un message régulier. Alors, elle est pas belle, la vie ? (J’emprunte cette expression au parler deux-pattes, un peu trivial, mais si expressif !)

En t'inscrivant, tu recevras :
Le mot de passe pour lire le feuilleton (les articles protégés) ;
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A propos Eschylle

Autant le dire tout de suite, je suis un chat. De surcroît, vous pouvez le constater, je m’exprime dans votre langue. Si j’avais miaulé, vous n’auriez rien compris. Ni même rien entendu puisque nous sommes dans le virtuel. Et l’écriture chat est un secret bien gardé.
J’apparais, sous la forme d’un siamois, à Paris en 1989 (28 06 1989), après avoir parcouru de nombreux plans d’existence. Je m’offre alors un deux-pattes fidèle et attentionné. Les péripéties de la vie me font découvrir qu’il n’est pas pourvu que de qualités, et tarde à écrire sous ma dictée. Je meurs et renais en 2006 (je vous rappelle que je suis un chat, il n’y a là rien que de très normal). Fin 2008, je prends mon deux-pattes en patte et commence à lui dicter mes souvenirs. Début 2011 est publié, sous son nom, mon premier roman, L’Arc de la lune. Les souris sont mon seul vice. Avec le chocolat. Oui, je sais, c'est inhabituel chez un chat. Je serai enchanté de répondre à toutes vos questions, quelles que soient vos origines (marsupiaux, félins, muridés (même les rats, j’adore les rats (surtout accompagnés de petits oignons, ou au naturel) !), ou même deux-pattes…)

2 réponses à Cent pour cent cendrillon ou sang pour sang joyeux drille ?

  1. Patricia FRISON dit :

    Cher Ami Chat
    Chaque article que tu écris nous apporte quelque chose …. Ne serait-ce que le plaisir de le lire ! Ils viennent réellement de ton coeur, alors ne change rien ! Au fil du temps, ton écriture prend de l’assurance et c’est un vrai plaisir que de te lire . J’ai encore un article que je vais découvrir dés que le calme sera autour de moi …… Bonne et douce journée Ami Chat !

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