Automne en haïkus
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Coule coule l’eau le velux est un torrent illuminations C’était l’accalmie reviennent les gifles folles me suis rendormi Lune fissurée la tranquillité (à suivre)
Haïkus du septième mois : juillet En torrents de pluie les éclairs déchirent l’aube tonne la lumière Le maïs se dresse le (à suivre)
La pluie couvre les carreaux de larmes La pluie couvre les carreaux de larmes Le toit crépite sous les doigts du ciel (à suivre)
Le ciel est un oiseau qui passe Le le le le le le le Le les les le Le les le les (à suivre)
Haïkus du quatrième mois : avril Nudité de l’aube étreinte d’or du soleil goutte de frissons Azur revenu fleurs déchirent leurs bourgeons (à suivre)
Si ton corps embrasé… Si ton corps embrasé violemment réclame… Je voudrais sur un lit de pétales de rose Étendre ta beauté, (à suivre)
Haïkus du troisième mois : mars Bulbes sur pelouse à la mémoire safran sourient les crocus Les jours se rallongent des larmes (à suivre)
Terre étrangère J’aborde en un lieu inconnu, Imprimant sur le sable nu Ma trace de peau étrangère Écoutant rouler chaque grain Ma (à suivre)
Haïku d’amour saut de grenouille en l’étang haïku toujours La Saint Valentin J’allais partir sur les toits sans respecter la tradition ! (à suivre)