Automne en haïkus
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Haïkus du sixième mois : juin Reflet végétal l’ombre du vent se déplace légers bruissements Picore l’oiseau doigts de sang sur l’horizon (à suivre)
Haïkus du deuxième mois Les yeux allumettes brouillard du matin frisquet marcher sur ses pattes Le soleil sommeille brume grise sur les (à suivre)
Autre déclaration d’amour Depuis combien de temps Et dans quel athanor T’étais-tu étendu dans tes atermoiements ? Seras-tu attifé en toute ataraxie (à suivre)
Haïkus du premier mois Ardoises transies humidité de l’hiver les souris grelottent Quand dansent les mots s’amusent les doigts gelés l’hiver se (à suivre)
Quelques haïkus pour l’an neuf Terre d’avenir verte comme un melon d’eau offre l’eau du ciel Deux mille quatorze l’année présente sa (à suivre)
Quatre saisons Un rideau de pluie perle d’eau sur la moustache rayon de lumière Étoile blancheur cristaux sous un ciel de plomb (à suivre)
Le dogue Je l’ai rencontré sur la toile Quand je baguenaudais tout bas Je venais là pour la nouba Peut-être en quête (à suivre)