Automne en haïkus
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Coule coule l’eau le velux est un torrent illuminations C’était l’accalmie reviennent les gifles folles me suis rendormi Lune fissurée la tranquillité (à suivre)
Haïkus du septième mois : juillet En torrents de pluie les éclairs déchirent l’aube tonne la lumière Le maïs se dresse le (à suivre)
Haïkus du sixième mois : juin Reflet végétal l’ombre du vent se déplace légers bruissements Picore l’oiseau doigts de sang sur l’horizon (à suivre)
Haïkus du cinquième mois : mai Ô, temps des cerises autour de tes deux oreilles deux gouttes de sang Par dessus les (à suivre)
Haïkus du troisième mois : mars Bulbes sur pelouse à la mémoire safran sourient les crocus Les jours se rallongent des larmes (à suivre)
Haïkus du deuxième mois Les yeux allumettes brouillard du matin frisquet marcher sur ses pattes Le soleil sommeille brume grise sur les (à suivre)
Haïkus du premier mois Ardoises transies humidité de l’hiver les souris grelottent Quand dansent les mots s’amusent les doigts gelés l’hiver se (à suivre)
Le seize novembre Le froid a jeté son voile au-dessus des toits Quelques grues aux poutrelles d’acier, délaissées Toute la nuit sur (à suivre)
Chat pleut Déprime de pluie Emprisonné sous mes poils j’attends le soleil Panse sur un pouf la pluie bat les carreaux gris (à suivre)