Automne en haïkus
Haïkus d’automne Haïkus des villes et des champs Bleuissement d’aube chant d’un coq à la fraîcheur digestion finie Réveil en lumière cheminée (à suivre)
Archives de la catégorie : Haïkus
Les haïkus d’août étaient-ils doux ?
Coule coule l’eau le velux est un torrent illuminations C’était l’accalmie reviennent les gifles folles me suis rendormi Lune fissurée la tranquillité (à suivre)
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Les haïkus de peau auront-ils la peau du haïku ?
Haïkus de peau Écroulée de rire la peau s’acclimate aux corps Comme le jardin Fraîcheur en buée la vie dessine un nuage (à suivre)
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Haïkus de juillet
Haïkus du septième mois : juillet En torrents de pluie les éclairs déchirent l’aube tonne la lumière Le maïs se dresse le (à suivre)
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Haïkus de juin
Haïkus du sixième mois : juin Reflet végétal l’ombre du vent se déplace légers bruissements Picore l’oiseau doigts de sang sur l’horizon (à suivre)
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Nouvelle naissance
Une nouvelle naissance La Pie Assoupie une auberge à bonne chère soupière insipide Un cheval de bois bascule dans le silence disparition (à suivre)
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Haïkus de mai
Haïkus du cinquième mois : mai Ô, temps des cerises autour de tes deux oreilles deux gouttes de sang Par dessus les (à suivre)
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Onde – Haïkus en écho
Haïkus de l’onde Écume frangée va-et-vient de l’onde en pleurs craquements de roches Dans l’obscurité une goutte anime l’onde jaillit la lumière (à suivre)
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Haïku d’écrire ?
Ça vaut le coup d’écrire ? Oui, ça vaut le coup (et même le coût, car il y a toujours un coût (à suivre)
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Haïkus d’avril
Haïkus du quatrième mois : avril Nudité de l’aube étreinte d’or du soleil goutte de frissons Azur revenu fleurs déchirent leurs bourgeons (à suivre)
