Haïkus de février
Haïkus du deuxième mois Les yeux allumettes brouillard du matin frisquet marcher sur ses pattes Le soleil sommeille brume grise sur les (à suivre)
Haïkus du deuxième mois Les yeux allumettes brouillard du matin frisquet marcher sur ses pattes Le soleil sommeille brume grise sur les (à suivre)
Départ (ou Paysage fendu) En silence je pense à l’horizon perdu Ligne tordue Un voilier glisse sur la houle dévêtue Triste abattue (à suivre)
Autre déclaration d’amour Depuis combien de temps Et dans quel athanor T’étais-tu étendu dans tes atermoiements ? Seras-tu attifé en toute ataraxie (à suivre)
Regard qui pétille sourire offert au futur couleur noir et blanc Dans un monde à part naît le son en arc-en-ciel amender (à suivre)
Cuisine de haïkus égoïstes Concise écriture haïku est liberté saisons et nature (17 février) Je ponds des haïkus paradoxal pour un chat (à suivre)
Sonnet quinzain : Le chant d’Adam Lilith, ô toi qui fut la première en mes bras J’étendais sur ta couche aux douceurs (à suivre)
Haïkus du premier mois Ardoises transies humidité de l’hiver les souris grelottent Quand dansent les mots s’amusent les doigts gelés l’hiver se (à suivre)
Ombre et lumière Si contempler mène à l’art Se sentir vivre assouvit Si j’écris des mots douceur La violence est en mon (à suivre)
Quelques haïkus pour l’an neuf Terre d’avenir verte comme un melon d’eau offre l’eau du ciel Deux mille quatorze l’année présente sa (à suivre)
Vertige Grand voilier blanc qui ballote au vent Scintillement des vagues moirées Ainsi dansent, lumières dorées, Les battements du cœur-océan Gerbes, rouleaux (à suivre)